Tous les matins à 7h20, puis tous les soirs à 17h45, ils sont une poignée à monter dans le bus. Ce sont ceux qui ne peuvent pas être emmenés au lycée par leurs parents. Chaque matin, on retrouve les mêmes têtes sur la place du Laca, au cœur du village. Émilie, Théo, Margaux, Galéran, Lise… Edoardo connaît cette routine depuis que ses parents sont venus s’installer à Champagnier en novembre.